Article : Tea Sušanj Protić, « La frontière orientale des plafonds peints : l’Adriatique croate »
Texte traduit en français
La frontière orientale des plafonds peints : l’Adriatique croate
Dans la cartographie des plafonds peints du Moyen Âge et de la Renaissance, pour la région méditerranéenne, le territoire croate était jusqu’à récemment une Terra incognita, située au-delà de la frontière orientale du phénomène. Les premières mentions de plafonds décorés gothiques sur le territoire croate ont été esquissées il y a trois décennies par Mirjana Marasović pour les plafonds de Spalato/Split[1], mais il manque une étude d’ensemble systématique du territoire. Même par la suite, l’enquête s’est surtout concentrée sur des plafonds singuliers ou des groupes de plafonds trouvés dans certaines villes et sur leur interprétation. Ces plafonds qui ont monopolisé l’intérêt des chercheurs ont été peints entre la troisième décennie et la fin du XVe siècle et sont le fruit d’une tradition adriatique d’origine vénitienne.
Lors de la conférence internationale qui s’est tenue à Udine en 2019, un bref panorama des recherches sur les exemples croates a été présenté, ainsi qu’une découverte toute récente, à Cherso/Cres[2]. Par la suite, dans la publication De l’Aragon au Frioul : esquisse d’une géographie des plafonds peints médiévaux, actes des rencontres RCPPM[3] (2021), la nouvelle découverte a été prise comme point de référence pour déplacer la limite de la zone des plafonds peints vers l’Est, mais malheureusement une confusion s’est glissée dans l’ouvrage et la découverte faite à Cherso, une ville insulaire de la haute Adriatique, a été déplacée à Fiume/Rijeka et en Istrie/Istra., En réalité dans l’état actuel des recherches, le territoire des plafonds peints comprend la côte orientale de l’Adriatique et les îles, c’est-à-dire de Cherso, au nord, à Dubrovnik, au sud : en bref, la Dalmatie.
Texte original
Sul confine orientale dell’area dei soffitti dipinti : l’Adriatico croato
Sulla mappa geografica dei soffitti dipinti medievali e rinascimentali dell’arco mediterraneo, fino ai tempi recenti, il territorio croato era rappresentato come una Terra incognita situata al di là del confine orientale del fenomeno. Anche se le prime notizie sui soffitti gotici decorati del territorio croato sono state delineate tre decenni fa da Mirjana Marasović per i soffitti di Spalato/Split,[1] è sempre mancata, tuttavia, una sistematizzazione per l’intero territorio. Infatti, persino nel periodo seguente, l’indagine si è per lo più soffermata sui soffitti singolari oppure gruppi di soffitti ritrovati in alcune città e sull’interpretazione prevalente di queste coperture, realizzate tra il terzo decennio e la fine del Quattrocento, risultato di una tradizione adriatica d’origine veneziana.
Al Convegno internazionale tenutosi a Udine nel 2019, è stato presentato il breve riassunto delle indagini sugli esempi croati, accanto al nuovo ritrovamento di Cherso/Cres[2]. In seguito, nella pubblicazione De l’Aragon au Frioul : esquisse d’une géographie des plafonds peints médiévaux, actes des rencontres RCPPM (2021)[3], il nuovo ritrovamento è stato considerato come punto di riferimento per lo spostamento del confine dell’area dei soffitti dipinti verso Est, ma purtroppo con una sorta di lapsus che ha collocato la scoperta di Cherso, città insulare alto-adriatica, a Fiume/Rijeka e in Istria/Istra. Infatti, allo stato attuale delle ricerche, il territorio dei soffitti dipinti include la costa orientale dell’Adriatico e le isole, ossia da Cherso a Nord, fino a Dubrovnik al Sud: in breve, la Dalmazia.
Bien que de nombreuses trouvailles ne soient que des fragments de bois, leur nombre indique que le plafond à poutres polychromes était habituel dans les demeures seigneuriales des noyaux médiévaux des villes de Dubrovnik[4], Spalato[5], Traù/Trogir, Sebenico/Šibenik[6], Lesina/Hvar[7] et Zara/Zadar[8], ainsi que dans les villas sur les îles et les complexes religieux. Parmi les caractéristiques communes des plafonds dalmates, l’élément le plus fréquent est le couvre-joint (cantinella) peint, agrémenté de motifs également connus des plafonds vénitiens, frioulans, lombards et piémontais[9]. Le terme « cantinelle in quadro » apparaît dans des contrats de menuiserie conclus avec des artisans locaux, documents trouvés à Dubrovnik et datant de la période comprise entre 1425 et 1435[10]. Autre caractéristique commune, les arcs trilobés, peints ou sculptés sur les closoirs (tavolette), un motif utilisé ici comme un répertoire décoratif purement sériel. En outre, les motifs géométriques, architecturaux ou végétaux prédominent sur les charpentes, certains exécutés avec des modèles, tandis que les rares cas de représentations illustratives se trouvent dans les exemples tardifs, ou dans les bâtiments religieux. Il existe également un type de plafond à décor peint sur l’ensemble de la charpente[11], une modalité qui a persisté, au-delà de la fin du XVIe siècle, sur les plafonds de type Renaissance, notamment à Dubrovnik[12].
Benché molti ritrovamenti consistano solo di frammenti lignei, il loro numero indica che il soffitto policromo a travatura era abituale nelle dimore signorili nei nuclei medievali delle città di Dubrovnik[4], Spalato[5] Traù/Trogir, Sebenico/Šibenik[6], Lesina/Hvar[7] e Zara/Zadar[8], ma anche nelle ville situate sulle isole e nei complessi religiosi. Tra i caratteri comuni dei soffitti dalmati, in particolare, l’elemento più frequente è dato dalle cantinelle dipinte, abbellite da motivi noti anche sui soffitti veneti, friulani, lombardi e piemontesi[9]. Il termine «cantinelle in quadro» compare nei contratti per i lavori in legno con gli artigiani locali, documenti ritrovati a Dubrovnik e risalenti al periodo tra il 1425 e il 1435[10]. Un’altra caratteristica comune è offerta dagli archi trilobi, dipinti o intagliati sulle tavolette, motivo qui usato come puro repertorio decorativo seriale. Del resto, sulle coperture predominano motivi geometrici, architettonici o vegetali, alcuni eseguiti con mascherine, mentre i rari casi delle raffigurazioni illustrative sono presenti in esempi tardivi, oppure negli edifici religiosi. Sul territorio si trova inoltre, il tipo di soffitto con la decorazione dipinta sull’intera struttura[11], una modalità che persiste in un periodo più tardo, ossia dalla fine del Cinquecento in poi, sui solai di tipo rinascimentale, soprattutto a Dubrovnik[.12]
D’autres plafonds proches de la technique et du style de l’Italie du Nord ont été récemment découverts, peints, où les images ne figurent que sur les closoirs. Dans le palais Petris-Moisè de Cherso, en particulier, on peut désormais admirer vingt-quatre panneaux, datables du troisième quart du XVIe siècle, avec des motifs de grotesques[13]. Les précieux panneaux en bois partagent les techniques d’exécution, les matériaux, les compositions et les sujets avec ceux du nord de l’Italie, notamment du Frioul, tandis que certains thèmes iconographiques, comme la poignée de main, se retrouvent même dans des zones géographiques éloignées (France, Auvergne[14]). La chance a voulu que, presque en même temps que celui de Cherso, un autre plafond à closoirs de grande valeur a été mis au jour. De plus, dans la maison Barbieri de Trogir, de style gothique-renaissance, sont réapparus dix closoirs avec des figures des Vertus[15], sujet iconographique déjà vu sur les plafonds de Crema[16], et des paysages rappelant les panneaux nord-italiens du XVe siècle avec des scènes de plein air.
In aggiunta a quanto spiegato, di recente sono stati ritrovati ulteriori soffitti vicini alla tecnica e stilistica del Nord Italia con immagini concentrate proprio sulle tavolette. Nel palazzo Petris-Moisè a Cherso, in particolare, si possono ora ammirare ventiquattro formelle, databili al terzo quarto del Cinquecento, con motivi a grottesche[13]. I preziosi riquadri lignei condividono le tecniche esecutive, i materiali, le composizioni e i soggetti con tavolette dell’Italia Settentrionale, specialmente friulane, mentre alcuni temi iconografici, quali la tavoletta con la stretta di mano, si riscontrano addirittura in aree geografiche lontane (Francia, Auvergne)[14]. Fortunatamente e quasi in contemporanea al ritrovamento di Cherso, è venuto alla luce un altro pregevole soffitto a tavolette. Nella casa gotico-rinascimentale Barbieri a Traù, del resto, sono ricomparse ben dieci tavolette con le figure delle Virtù[15], un soggetto iconografico già visto sui soffitti cremaschi[16], e paesaggi che ricordano le formelle quattrocentesche nord-italiane con scene ambientate all’aperto.
Les récentes découvertes indiquent donc que des recherches intéressantes sur les plafonds peints croates sont toujours en cours[17]. Cependant on peut d’ores et déjà affirmer que le phénomène commun au sud de l’Europe des plafonds à poutres polychromes s’est également manifesté dans ce coin de la Méditerranée avec différentes solutions technico-constructives, dont le plafond à closoirs. Cet aspect déplace donc sensiblement les limites de la région des plafonds de l’ouest au sud-est, jusqu’à Dubrovnik, incluant la quasi-totalité de la côte croate.
I recenti ritrovamenti segnalano, quindi, che l’interessante ricerca sui soffitti dipinti croati è ancora in atto[17]. Tuttavia, già allo stato attuale, si può affermare che il fenomeno comune dell’Europa meridionale dei soffitti a travatura policromi si è manifestato anche in questo angolo del Mediterraneo con differenti soluzioni tecnico-costruttivi, compreso il tipo di soffitto a tavolette dipinte. Tale aspetto sposta, perciò, in modo significativo i confini della regione dei soffitti da Ovest a Sud-Est, fino a Dubrovnik, includendo quasi l’intera costa croata.
[1]MARASOVIĆ Mirjana, Srednjovjekovne drvene stropne konstrukcije u Splitu, «Godišnjak zaštite spomenika kulture Hrvatske», 16, 1990, p.133-144.
[2] SUŠANJ PROTIĆ Tea, Un cielo dipinto adriatico. Il soffitto ligneo nel palazzo Petris-Moise a Cherso, Convegno internazionale Cieli dipinti. Soffitti lignei nell’Europa meridionale fra Medioevo e Rinascimento, Udine 8-10 novembre 2019 [en cours de publication]
[3] Chapitre 10. Ouvertures en guise de conclusion, in De l’Aragon au Frioul : esquisse d’une géographie des plafonds peints médiévaux, actes des rencontres RCPPM (Lagrasse, ottobre 2015), sous la direction de Monique Bourin, Maud Pérez-Simon et Georges Puchal, pdf, http://books.openedition.org/psorbonne/86715 , Paris, Éditions de la Sorbonne, 2021.
[4] GRUJIĆ Nada, Ladanjska arhitektura dubrovačkog područja, Zagreb, Institut za povijest umjetnosti – Nakladni zavod Matice hrvatske, 1991 (Studije i monografije instituta za povijest umjetnosti, 9), GRUJIĆ Nada, TENŠEK Ivan, Domus illorum de Caboga, «Radovi instituta za povijest umjetnosti», 25, 2001, p. 111-113.
[5] SVEDRUŽIĆ-ŠEPAROVIĆ Ivana, Drveni gotički stropovi u Splitu, Primjeri iz palače Papalić i palače Grisigono, in Vratnice Andrije Buvine u Splitskoj katedrali: 1214-2014, actes du colloque (Split, 23-24 settembre 2014), sous la direction de Joško Belamarić e Guido Tigler, Split – Zagreb, Književni krug – Institut za povijest umjetnosti, 2020, p. 441-462.
[6] ŠPRLJAN Ivo, Gotički drveni stropovi u Šibeniku i okolici – katalog i obnove, «Godišnjak zaštite spomenika kulture Hrvatske», 31-32, 2007-2008, p. 161-173.
[7] GAMULIN Anita, Drvene stropne konstrukcije u gradu Hvaru, «Godišnjak zaštite spomenika kulture Hrvatske», 39, 2015, p. 105-123., GAMULIN Anita, Gotičko-barokna kuća Bartučević u Hvaru, «Godišnjak zaštite spomenika kulture Hrvatske», 34, 2009-2010, p. 79-96.
[8] SABLJAK Alenka, VEŽIĆ Pavuša, Obnova kuće Nassis u Zadru, «Godišnjak zaštite spomenika kulture Hrvatske», 4-5, 1978-1979, p. 155-184.
[9] Les motifs ont été répertoriés récemment par : FRATTA DE TOMAS Francesco, Soffitti lignei in Friuli fra Medioevo e Rinascimento, Milano, Silvana Editoriale, 2019.
[10] GRUJIĆ Nada, Kuća u gradu: Studije o dubrovačkoj stambenoj arhitekturi 15. i 16. stoljeća, Dubrovnik, Matica hrvatska – Ogranak Dubrovnik, 2013.
[11] KOVAČIĆ Vanja, Čiovo – Samostan sv. Križa, in Dominikanci u Hrvatskoj, catalogo della mostra (Zagreb, 20 dicembre 2007 – 30 marzo 2008), a cura di Igor Fisković, Zagreb, Galerija Klovićevi dvori – Hrvatska dominikanska provincija, 2011, p. 265-269.
[12] NODARI Maja, LAZNIBAT Zehra, Ljetnikovac Bobaljević-Pucić u Dubrovniku, in Kultura ladanja, Zbornik Dana Cvita Fiskovića I, atti del convegno (Orebić, Korčula, Dubrovnik, 1-6 ottobre 2001 – Hvar, Starigrad, Kašteli, Split, 29 Settembre – 3 ottobre 2002), a cura di Nada Grujić, Zagreb, Institut za povijest umjetnosti – Odsjek za povijest umjetnosti Filozofskog fakulteta Sveučilišta u Zagrebu, 2006, p. 221-235, BELAMARIĆ Joško, Biskupska palača u Dubrovniku, Dubrovnik, Dubrovačka biskupija, 2018., MARKOVIĆ Vladimir, Zidno slikarstvo 17. i 18. stoljeća u Dalmaciji, Zagreb, Društvo povjesničara umjetnosti SR Hrvatske, 1985., PRIJATELJ Kruno, Za biografiju Pellegrina Brocarda, slikara nadbiskupa Ludovica Beccadellija, «Radovi IPU», 8, 1984, p. 89-93.
[13] SUŠANJ PROTIĆ Tea, Tabulae pictae u palači Petris-Moise u Cresu, «Ars Adriatica», 8, 2018, p. 81-104.
[14] PÉREZ-SIMON Maud, Nouvelles interprétations iconographiques du plafond peint du château d’Aigueperse (Auvergne, XVe siècle), Convegno internazionale Cieli dipinti. Soffitti lignei nell’Europa meridionale fra Medioevo e Rinascimento, Udine 8-10 novembre 2019 [en cours de publication].
[15] Les premières observations ont été rapportées dans un quotidien par Ivana Pavičić Prijatelj; DUILO Dražen, Žena s mačem i vagom skrivana stoljećima pod trogirskom žbukom istinsko je i senzacionalno blago, «Slobodna Dalmacija», 27 ottobre 2016.
[16] CESERANI ERMENTINI Lidia, Tavolette Rinascimentali – Un fenomeno di cultura a Crema, Crema, Bolis Edizioni, 1999.
[17] Le terme utilisé en croate est strop – « plafond », mais plus souvent grednjak – « poutres, plafond à poutres apparentes ».
[1] MARASOVIĆ Mirjana, Srednjovjekovne drvene stropne konstrukcije u Splitu, «Godišnjak zaštite spomenika kulture Hrvatske», 16, 1990, p.133-144.
[2] SUŠANJ PROTIĆ Tea, Un cielo dipinto adriatico. Il soffitto ligneo nel palazzo Petris-Moise a Cherso, Convegno internazionale Cieli dipinti. Soffitti lignei nell’Europa meridionale fra Medioevo e Rinascimento, Udine 8-10 novembre 2019 – atti del convegno in pubblicazione
[3] Chapitre 10. Ouvertures en guise de conclusion, in De l’Aragon au Frioul : esquisse d’une géographie des plafonds peints médiévaux, actes des rencontres RCPPM (Lagrasse, ottobre 2015), a cura di Monique Bourin, Maud Perez-Simon et Georges Puchal, pdf, http://books.openedition.org/psorbonne/86715, Paris, Éditions de la Sorbonne, 2021.
[4] GRUJIĆ Nada, Ladanjska arhitektura dubrovačkog područja, Zagreb, Institut za povijest umjetnosti – Nakladni zavod Matice hrvatske, 1991 (Studije i monografije instituta za povijest umjetnosti, 9), GRUJIĆ Nada, TENŠEK Ivan, Domus illorum de Caboga, «Radovi instituta za povijest umjetnosti», 25, 2001, p. 111-113.
[5] SVEDRUŽIĆ-ŠEPAROVIĆ Ivana, Drveni gotički stropovi u Splitu, Primjeri iz palače Papalić i palače Grisigono, in Vratnice Andrije Buvine u Splitskoj katedrali: 1214-2014, atti del convegno (Split, 23-24 settembre 2014), a cura di Joško Belamarić e Guido Tigler, Split – Zagreb, Književni krug – Institut za povijest umjetnosti, 2020, p. 441-462.
[6] ŠPRLJAN Ivo, Gotički drveni stropovi u Šibeniku i okolici – katalog i obnove, «Godišnjak zaštite spomenika kulture Hrvatske», 31-32, 2007-2008, p. 161-173.
[7] GAMULIN Anita, Drvene stropne konstrukcije u gradu Hvaru, «Godišnjak zaštite spomenika kulture Hrvatske», 39, 2015, p. 105-123., GAMULIN Anita, Gotičko-barokna kuća Bartučević u Hvaru, «Godišnjak zaštite spomenika kulture Hrvatske», 34, 2009-2010, p. 79-96.
[8] SABLJAK Alenka, VEŽIĆ Pavuša, Obnova kuće Nassis u Zadru, «Godišnjak zaštite spomenika kulture Hrvatske», 4-5, 1978-1979, p. 155-184.
[9] I motivi sono stati sistematizzati recentemente in: FRATTA DE TOMAS Francesco, Soffitti lignei in Friuli fra Medioevo e Rinascimento, Milano, Silvana Editoriale, 2019.
[10] GRUJIĆ Nada, Kuća u gradu: Studije o dubrovačkoj stambenoj arhitekturi 15. i 16. stoljeća, Dubrovnik, Matica hrvatska – Ogranak Dubrovnik, 2013.
[11] KOVAČIĆ Vanja, Čiovo – Samostan sv. Križa, in Dominikanci u Hrvatskoj, catalogo della mostra (Zagreb, 20 dicembre 2007 – 30 marzo 2008), a cura di Igor Fisković, Zagreb, Galerija Klovićevi dvori – Hrvatska dominikanska provincija, 2011, p. 265-269.
[12] NODARI Maja, LAZNIBAT Zehra, Ljetnikovac Bobaljević-Pucić u Dubrovniku, in Kultura ladanja, Zbornik Dana Cvita Fiskovića I, atti del convegno (Orebić, Korčula, Dubrovnik, 1-6 ottobre 2001 – Hvar, Starigrad, Kašteli, Split, 29 Settembre – 3 ottobre 2002), a cura di Nada Grujić, Zagreb, Institut za povijest umjetnosti – Odsjek za povijest umjetnosti Filozofskog fakulteta Sveučilišta u Zagrebu, 2006, p. 221-235, BELAMARIĆ Joško, Biskupska palača u Dubrovniku, Dubrovnik, Dubrovačka biskupija, 2018., MARKOVIĆ Vladimir, Zidno slikarstvo 17. i 18. stoljeća u Dalmaciji, Zagreb, Društvo povjesničara umjetnosti SR Hrvatske, 1985., PRIJATELJ Kruno, Za biografiju Pellegrina Brocarda, slikara nadbiskupa Ludovica Beccadellija, «Radovi IPU», 8, 1984, p. 89-93.
[13] SUŠANJ PROTIĆ Tea, Tabulae pictae u palači Petris-Moise u Cresu, «Ars Adriatica», 8, 2018, p. 81-104.
[14] PĖREZ-SIMON Maud, Nouvelles interprétations iconographiques du plafond peint du château d’Aigueperse (Auvergne, XVe siècle), Convegno internazionale Cieli dipinti. Soffitti lignei nell’Europa meridionale fra Medioevo e Rinascimento, Udine 8-10 novembre 2019. – atti del convegno in pubblicazione
[15] Le prime osservazioni sono state fornite a giornali quotidiani da Ivana Pavičić Prijatelj; DUILO Dražen, Žena s mačem i vagom skrivana stoljećima pod trogirskom žbukom istinsko je i senzacionalno blago, «Slobodna Dalmacija», 27 ottobre 2016.
[16] CESERANI ERMENTINI Lidia, Tavolette Rinascimentali – Un fenomeno di cultura a Crema, Crema, Bolis Edizioni, 1999.
[17] Il termine usato in Croazia è strop – soffitto, ma anche più spesso grednjak – travatura, soffitto con travi a vista.
Tea Sušanj Protić (texte original en italien avec l’aide de Paola Bonfadini et traduit en français par Maud Pérez-Simon avec l’aide de Monique Bourin)